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YERULDEGGER, ou les premisses du voyage.

Juillet de l'année dernière, nous recevons au bureau la sélection des lectrices du magazine ELLE. La plupart des livres ont des couvertures trop blanches à mon goût ou un résumé qui ne m'enchante pas vraiment. Et puis il y a celui-ci, avec un nom imprononçable..."Yeruldegger". Je lis rapidement la quatrième de couverture et lance à mes collègues : "Je prends celui-la"! Ça faisait une éternité que je n'avais pas pris le temps de lire et les vacances étant toutes proches, c'était parfait.



542 pages plus tard, je refermais le livre - quittant soudainement l'effervescence de cette enquête criminelle écrite avec brio - un peu triste de devoir me séparer des personnages auxquels je m'étais attachée. Je restais néanmoins marquée par la beauté des paysages décris avec finesse par Ian Manook et surtout par la magie qui semble régner là-bas, en Mongolie. Ce pays qui existe depuis toujours et dont on ne parle finalement jamais.


Quand l'opportunité de partir pour un grand voyage s'est présentée, j'ai alors repensé à cette atmosphère particulière, aux traditions, aux nomades et surtout aux grands espaces qui s'étendent à l'infini, préservés de toute construction humaine.


La Mongolie... pourquoi pas ?


Après quelques lectures et recherches sur cette destination lointaine, j'avais beau continuer à consulter de nombreux sites sur le Bolivie (autre voyage que je ferai un jour, c'est certain) ou encore sur l'Asie, il fallait bien que je m'y fasse, la Mongolie est apparue comme une évidence et s'est doucement imposée face à toutes les autres merveilles de ce monde.


Deux jours plus tard, je réservais mes billets d'avion.

Départ pour Oulan-Bator le 22 mai, retour à Paris le 6 Juin ! Let's rock !


Of Monsters and Men - Dirty Paws - extrait de la bande originale du film " The Secret Life of Walter Mitty".









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